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« La question de la propreté urbaine doit donc s’intégrer en amont de tout projet d’aménagement urbain plutôt qu’en aval, comme une simple question de nettoiement, de propreté publique. La propreté est un bien commun. Il m’importe que cette première Stratégie de propreté urbaine fédère tous les acteurs bruxellois qui, d’une manière ou d’une autre, sont impliqués, par leurs actes, dans cette question de la propreté. La multiplicité des acteurs n’est pas un problème en soi tant qu’il existe un objectif commun, partagé, et que la définition des rôles, ainsi que la coordination, sont claires. »